17 janvier 2006
Et mon cauchemar devint réalité
„Danke dass Sie so schwachsinnig waren mein Rad mitanzuketten“
En substance : « merci d’avoir été assez imbécile pour cadenasser mon vélo ».
Et ça, c’était le petit mot accroché à mon vélo hier soir.
Je tiens donc à exprimer ici publiquement mon plus profond regret quand à ce geste malencontreux de ma part. Mon cauchemar de cycliste est devenu réalité, il faut désormais l’exorciser, l’extérioriser, et repartir de l’avant.
Bon, et maintenant un peu de mauvaise foi, ça n’a jamais tué. Il suffisait que vous démontiez votre câble de frein, et vous libériez votre fier destrier de ce cadenas indus, mais solide. Qui plus est, par ce froid, ce n'était pas prudent de circuler à vélo, surtout que la neige cache les plaques de verglas.
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